Le chevauchement des générations, le casse-tête du généalogiste !
- Le Jeu 12 sept 2024
- 2 commentaires
La photo ci-dessus représente le cheval Circa et deux enfants ayant un lien de parenté, Marie-Agnès Gave, née en 1945 et Raymond Arpin, né en 1947.
Le cliché a été pris à Montigny en Cambrésis, chez Paul Gave et son épouse Denise Streck que l’on aperçoit en arrière-plan.
Si l’on s’en tient à la notion qui consiste au découpage du temps par tranches, la collection de toutes les personnes du même âge ou à peu près, il semble évident que les deux enfants appartiennent à la même génération.
Et pourtant, si l’on regarde de plus près, en partant de leur aïeul commun, Jean Baptiste Gave, l’individu qui est au niveau générationnel de Marie-Agnès, sa petite cousine est Odile Lefort, la grand-mère de Raymond !
Cette situation se présente d’autant plus fréquemment que nous avons affaire à de grandes fratries où l’on constate plus de vingt ans d’écart entre l’aîné et le benjamin, ou lors du remariage d’un veuf avec une épouse plus jeune.
Au plan scientifique, ce type d’étude est important pour la génétique et ses transmissions.
Plus modestement, à notre niveau, elle réside dans la difficile reconstitution d’arbres généalogiques ascendants avec des personnages aux données parfois incomplètes. Lorsque sur plusieurs générations on rencontre des noms et prénoms identiques, on a vite fait de sauter un étage accidentellement !
Ce n’est pas le cas dans l’exemple ci-dessous ou chaque génération est clairement identifiée sans risque de confusion possible.
Mes plus vifs remerciements à Véronique Gave pour cette photo.
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Commentaires
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- 1. Armelle Le Mar 17 sept 2024
Je n'ai pas encore eu le cas dans ma généalogie mais j'imagine aisément la complexité et le risque que cela peut entrainer. -
- 2. Christiane Bruneau Le Jeu 12 sept 2024
Original cette approche !
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